Le Chien et la Pie

chien
La Pie : Pruut piiit pruut
Le Chien : Mouwouf
La Pie : Thetapot
Le Chien : Heun
La Pie : Feut
Le Chien : Mnau ptauw
La Pie : Ya rereth
Le Chien : Eh thssa

Le Chien et la Pie sont deux voisins que tout semble séparer… Jusqu’à présent, ils avaient toujours cohabité sans trop de problèmes, mais aujourd’hui, tout va basculer: la Pie voleuse s’empare d’un objet sacré: l’os du Chien.
A partir de 3 ans


Distribution

Interprétation
Olivier Nivarlet
Frédéric Lammerant

Mise en scène/Dramaturgie
Hadi El Gammal

Oeil Extérieur
Christine Smeysters

Collaboration artistique
Diane Broman

Scénographie
Michael De Clercq

Costumes
Michael De Clercq, Marina Anseel

Musiques
Hadi El Gammal

Création éclairages
Jean-Marc Gillet

Conseiller Illusionniste
Bob Allan

Régie
Yves Hauwaert

Musiciens
Philippe Leblanc, Michel Massot, Marc Keyaert, Hadi El Gammal

Enregistrements
Jean-Marc Gillet

Illustrations
Mario Ramos

Graphisme
Jean-Loup Hock

Photos
Benjamin Struelens

Technique

Public
130 spectateurs max

Age minimum
3 ans

Durée du spectacle
45 minutes

Espace scénique minimum 
Ouverture 8 m, profondeur 6 m, hauteur 4 m

Occultation
Indispensable

Electricité
32 A triphasé 380 V ou 40 A triphasé 220 V

Temps de montage 
4 heures

Temps de démontage 
2 heures

Aide demandée 
2 personnes pour le chargement et le déchargement


Presse

De son perchoir, une pie délicate observe un chien vorace, prêt à gratter la terre. Voleuse, elle s’attaque à l’os du chien. Sacrilège. Difficile, la vie en commun devient impossible. Se faufilent dans ce bref moment de théâtre musical et gestuel l’inégalité, la solidarité, le danger et le partage. Sans un mot Olivier Nivarlet et Frédéric Lammerant très crédibles dans leur animalité, disent tant de choses. C’est bref, jazzy et très réussi. (Dès 3 ans)
LA LIBRE CULTURE 29/08 – 04/09/2001


Parmi les créations présentées, légère et riche, Le chien et la Pie par le Théâtre Maât, qui pour la première fois s’intéresse aux plus jeunes, offre l’émotion toujours recherchée. Car si le spectateur sort touché, ne dit-on pas que le pari est gagné?

Sans un mot les deux comédiens, Olivier Nivarlet et Frédéric Lammerant, très crédibles dans leur animalité jouent la rivalité, l’inégalité, la solidarité, le danger dans une mise en scène d’Hadi El Gammal où tout, ou presque est dit.
LA LIBRE BELGIQUE 25 – 26/08 2001


La fable est simple et belle. Le chien et la pie sont des voisins que tout sépare: langage, habitude, richesse… La pie vole l’os de son compagnon de quartier. Poursuite, accident, inquiétude, agonie de l’oiseau… Le chien, jeune et fou, un labrador en apparence, a un cœur de Saint-Bernard. Résurrection, réconciliation. Pour sa première réalisation destinée aux tout petits, chapeau au Théâtre Maât! Il fallait oser risquer ce spectacle sans parole qui joue l’animalité avec une telle vérité d’observation. Olivier Nivarlet et Frédéric Lammerant sont époustouflants. Que de moments magiques: lorsque le trésor valse à la poubelle, lorsque le chien pose maladroitement la patte sur la pie pour la consoler. Oui, dans ce spectacle, ceux qui observent les oiseaux ou qui ont un compagnon à quatre pattes ne peuvent s’empêcher de sourire en pensant: c’est juste! Beauté du décor, de la musique, rythme assuré. Tout concourt à ce que le temps passe vite pendant ces 45 minutes. On se dit en sortant: c’est trop court. Bon signe.
LE LIGUEUR 19/09/2001


Le Chien et la Pie du Théâtre Maât déboule en jacassements et grognements, seules rimes de la nouvelle fable mise en pattes et en poils par Hadi El Gammal. Deux formidables acteurs vous expliqueront comment, par exemple, les poils de l’un peuvent servir les plumes de l’autre. Dites solidarité!
Michèle Friche
LE VIF/ L’EXPRESS 14/12 2001


Le Chien et la Pie, un spectacle pour les tout petits mais qui donne aux adultes une leçon de paix. Cette fable sans parole est menée de pattes de maître par les deux comédiens qui trouveraient place dans un panier ou sur une branche tant leurs mimiques et comportements correspondent à ceux de nos héros animaliers. Un spectacle magnifique tant pour sa mise en scène (Hadi El Gammal), sa scénographie (Michaël Declercq), le jeu de ses comédiens que pour la leçon de morale qu’il distille.
LA PROVINCE DE MONS 15/01/2002


Invité par le Lézard, le Théâtre Maât, une compagnie belge, a présenté mercredi après-midi au centre socioculturel Europe, à Colmar, une fable sans paroles, Le Chien et la Pie, devant un parterre de gamins enthousiastes. S’inspirant de la fable Le corbeau et le renard de La Fontaine, le spectacle a mêlé avec beaucoup d’humour, théâtre et musique, avec une gestuelle d’une incroyable précision. S’adressant à un public à partir de trois ans, Olivier Nivarlet, le chien, et Frédéric Lammerant, la pie, ont déployé un art du mime incontestable… qui n’a pas laissé insensibles les spectateurs, petits et grands. Dans un décor minimaliste baigné de lumières chatoyantes, la pie convoite et désire s’octroyer le nonos du chien. Pour arriver à ses fins, elle va user de multiples subterfuges. La pie voleuse, le chien un peu pataud, dans une belle mise en scène d’Hadi El Gammal, ont évoqué des situations et des ressentiments de l’homme actuel: inégalité, partage et solidarité. Les nombreux enfants ont suivi avec beaucoup de plaisir et exubérances les tribulations de ces deux compères qui, de par leur mimiques, ont provoqué des salves de rires.
DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE 20/02/2004

Furtif, inventif, Le Chien et la Pie crée l’instant magique de la vraie rencontre entre le tout jeune spectateur et l’acteur. Une pie délicate, un chien remuant, deux approches différentes, des acteurs animaliers, un mouvement jazzy, ce spectacle est une vraie réussite. Court mais bon comme le dit l’expression. Dès 3 ans.
LA LIBRE CULTURE (La Libre Belgique) 05/12/2001


Qui a dit que les fables de la Fontaine étaient dépassées? Sans un mot, le Théâtre Maât réinvente le genre du Corbeau et du Renard, substitue un chien et une pie aux héros et se paye même le luxe d’une petite morale sur les vertus de la solidarité. Sifflements et grognements constituent les seules rimes de la mise en scène énergique d’Hadi El Gammal, portées à bouts de pattes par deux jeunes acteurs qui ont laissé toute mauvaise humeur au bestiaire. Frédéric Lammerant, en queue de pie, piaille, vole l’os à son voisin de chien et se croque une aile. Pas rancunier pour un sou, Olivier Nivarlet lui bande les plumes grâce à son écharpe de poils, tandis qu’il jappe à l’aide. Morale: Hadi El Gammal a le sens du rythme (dans ses compositions musicales aussi) et réunit là une équipe qui a du chien. Réglé au poil près, leur spectacle convainct, malgré son apparente simplicité.
Laurent Ancion
LE SOIR 12/09/2001


Le Chien et la Pie, conte écrit par le théâtre Maât, a été présenté récemment à environ deux cents élèves de maternelle, sur la scène des Bains-Douches. L’histoire est celle de voisins particuliers, un chien et une pie… Mimes et humours sont au rendez-vous avec les deux comédiens, Olivier Nivarlet (le chien) et Frédéric Lammerant (la pie) pour ce spectacle mêlant étroitement la musique au théâtre, dans un élan festif où l’humour et la tendresse cherchent à l’emporter sur la tristesse et la violence.

Pendant quarante-cinq minutes, les enfants des maternelles de Lignières, Vallenay, Ineuil, Loye-sur-Arnon, de saint-Hilaire-en-Lignières, du Châtelet et de l’ARPPE en Berry (halte garderie Kangourêve) ont participé pleinement à l’histoire. Certains l’ont sans doute racontée à leurs parents en rentrant chez eux!
LA NOUVELLE REPUBLIQUE 14/11/2003


La fable est simple et belle. Le Chien et la Pie sont des voisins que tout sépare: ils ne parlent pas le même langage, n’ont pas les mêmes habitudes, pas les mêmes richesses… Jusqu’à présent, ils avaient toujours cohabité sans trop de problèmes, mais aujourd’hui, tout va basculer. La pie voleuse va s’emparer de l’os sacré de son compagnon de quartier. Poursuite, accident, inquiétude, accident de l’oiseau… Le chien, jeune fou, a toutefois un cœur de Saint-Bernard. Il soigne la pie voleuse du mieux qu’il peut et finit par la sauver. Résurrection et réconciliation. A partir de ce moment-là, rien ne sera plus jamais comme avant. Et cela résonne comme une très belle leçon de solidarité et de paix qui ne manquera pas de charmer les enfants.
PARIS NORMANDE 17/11/2003


Qu’est-ce qui peut sceller amitié et solidarité entre une pie et un chien, deux sympathiques animaux pourtant si différents? Un os! Ce mardi 18 novembre, le théâtre belge Maât enchante littéralement les 170 spectateurs témoins d’une véritable leçon de solidarité et de paix qui ferait parfois bien des envieux dans la gente humaine. Par une belle fable sans parole, le svelte et élégant oiseau arrive à devenir le protégé de ce labrador d’apparence bourrue mais au cœur de Saint-Bernard. Pendant 45 minutes, les facéties de nos héros, les pirouettes et volte-face déclenchent rires et commentaires chez les jeunes enfants venus majoritairement profiter de ce moment d’émotion. Capture de l’os à moelle par l’effronté volatile, accident, agonie, soins appropriés, résurrection et surtout réconciliation entre 2 êtres vivants qui avaient tout pour s’ignorer: désormais rien ne sera plus comme avant pour ces co-habitants devenus réellement amis.
L’EVEIL DE PONT AUDEMER 25/11/2003